Syracuse permet de conserver la connaissance et les savoirs-faire, y compris après le départ de certains collaborateurs. Il est d’ailleurs urgent que les entreprises s’intéressent à leurs postes clés et qu’elles se demandent quelles sont les connaissances qui s’y rattachent. Cela permet d’identifier les risques d’une mauvaise gestion de ces connaissances.
pérenniser les connaissances
pérenniser les connaissances
Documenter le geste technique d’un collaborateur historique voué à la retraite ou d’aller à la concurrence ; sauvegarder les idées prometteuses lancées en vrac lors d’un brainstorming ou les différentes versions d’un prototype ; garder la trace d’une réponse apportée par le service commercial à une réclamation client inhabituelle ou par le service RH à une demande spécifique d’un collaborateur, etc. Tout cela relève du knowledge management et permet à l’organisation de créer une immense base de connaissances.
Á l’heure de l’internationalisation, où de nombreux projets sont répartis sur plusieurs sites, parfois distants, l’enjeu du knowledge management devient aussi celui du partage des connaissances. Syracuse s’érige ainsi en outil de travail collaboratif.
Syracuse garantit une capitalisation structurée et continue des savoirs-faire individuel et collectif. Il offre ainsi un référentiel des bonnes pratiques capable de nourrir et de consolider l’intelligence collective.
Parce que les savoirs-faire ne sont pas figés, parce qu’ils évoluent et qu’ils peuvent même disparaître lorsque les métiers et/ou les pratiques changent, Syracuse permet de garder en mémoire les connaissances de l’organisation, les “tour de main” et autres “ficelles du métier”.
